Comment leur faire aimer ça!
Il y a des idées qu’on trouve fascinantes quand on maîtrise notre sujet, mais qui ne sont pas la meilleure porte d’entrée pour piquer la curiosité d’un public non-expert.
Il y a des idées qu’on trouve fascinantes quand on maîtrise notre sujet, mais qui ne sont pas la meilleure porte d’entrée pour piquer la curiosité d’un public non-expert.
Hors de leur contexte les études scientifiques sont souvent trop éloignées du grand public, mais il suffit du contexte social adéquat pour que la barrière entre science et société soit vite rompue.
Mon expérience sur l’utilisation de l’humour en vulgarisation m’a amené à un constat : c’est un apprentissage perpétuel. Trouver le juste équilibre entre blagues et informations scientifiques est complexe, et il faut recommencer à chaque nouvelle vulgarisation scientifique.
Cette vulnérabilité est une brèche qu’on taille dans sa recherche, une brèche qui permet aux autres de s’engouffrer […] et rend possible le contact et le partage.
Plus que de simples souvenirs, les images sont des archives qui rendent visuellement compte de l’expérience vécue par les chercheur-ses. Elles facilitent la visualisation des faits et leur compréhension.
Comment transporter l’auditrice-teur pour prendre part à son propre voyage, à une exploration visuelle? Et écouter afin de mieux voir…
Soyez curieux, partez vers des horizons qui vous interpellent et surtout, n’ayez pas peur de plonger! Parce que pour apprendre à surfer, il faut commencer par se mouiller.
À quoi votre image va-t-elle faire penser. Elle doit susciter la curiosité, l’intérêt des personnes qui vont la regarder. Leur faire travailler leur imaginaire. Alors, quelle émotion votre image va-t-elle créer?
Participer à une Fresque du Climat est une expérience mémorable. En animer une est une aventure unique à chaque fois! Vous passez à l’action?
En dosant l’humour et en utilisant des mots qui facilitent la compréhension, le public s’identifie davantage au message, permettant de gagner sa confiance et de l’amener à moduler ses comportements et ses points de vue.
L’un des moyens les plus efficaces pour lutter contre la désinformation scientifique est de développer des compétences en matière de littératie scientifique. Cela implique d’être en mesure de lire, de comprendre et d’évaluer les informations scientifiques de manière critique et réfléchie.
Il y a beaucoup de choses à savoir sur les communautés mais quand il s’agit d’interactions, ce qu’il faut mettre en haut de la liste ce sont les codes culturels de communication.
C’est un fait que s’adresser à un public non captif, demande aussi de trouver le moyen de capter son attention, d’éveiller sa curiosité afin de le motiver à lire ou écouter tel contenu.
Tous les sujets scientifiques peuvent être communiqués, mais le succès de la communication dépend notamment de l’angle et de la façon dont le sujet est présenté.
Le chapeau est un élément essentiel d’un article, en communication scientifique comme en presse. Son rôle est de vous faire connaître les éléments clés de l’article, et vous donner envie de lire le texte dans son entièreté.
Il a donc fallu trouver un fil conducteur/une histoire qui pouvait faire le lien entre chaque partie et choisir les discours les plus « parlants » pour chaque détail. J’ai dû, bien évidemment, retirer plusieurs éléments pour mieux synthétiser…
“Il était une fois…” Quoi de mieux pour débuter une histoire! Raconter une histoire, c’est l’un des premiers conseils donnés pour vulgariser ses travaux de recherches. Alors raconter une histoire, oui, mais pas n’importe comment.
C’est un bien drôle d’animal que le «fil conducteur», cet enchaînement des idées qui garde le lectorat dans un texte, votre communication scientifique, jusqu’au bout.
Écrire une note de politique, c’est passer le langage scientifique au hachoir de la simplicité! Clarté et exactitude ne sont certainement pas des concepts opposés.
Vous êtes tranquillement installé-e sur votre serviette de plage, lorsque, à distance socialement respectable, la discussion s’engage pour parler sciences et métiers.
La recherche suggère aujourd’hui de renouveler le modèle descendant, ou « syndrome du déficit de connaissances », pour un modèle de communication scientifique favorisant le dialogue et l’interaction.
Cette décision doit être prise tôt dans le travail d’écriture, et correspond à une réelle volonté de s’inscrire dans un circuit de communication scientifique différent du modèle traditionnel.
Comment restaurer le lien naturel entre la méthode et le résultat d’une expérience et construire une histoire linéaire en racontant les étapes successives de votre démarche scientifique?
Bien entendu, nous ne sommes pas tou-te-s sur un pied d’égalité devant les formats de vulgarisation scientifique et nous avons des affinités avec certains.
Une pratique qui pourrait aider à améliorer des activités de communication scientifique en vue d’augmenter leurs impacts?
Dès le début de la traversée, il faut penser aux passagers et mettre le cap vers la destination. Qui seront les lecteurs? Quel est le « lieu » de publication?
Encourager une plus grande ouverture des sciences devrait être un projet de société défendu autant par les scientifiques que par les citoyen-ne-s.
Quand on communique les sciences avec les publics, on se sert des cas particuliers pour introduire le général, pour capter l’attention.
Vous souhaitez illustrer vos travaux de communication scientifique avec des ressources libres? Apprenez à utiliser Wikimédia Commons.
Faire des sciences en passant par la fête, les jeux, peuvent être un facilitateur dans la compréhension des informations et l’apprentissage de nouvelles compétences scientifiques.
Partir à la découverte, explorer notre environnement, voyager avec son cerveau, repousser les frontières de l’inconnu et de l’impossible, se découvrir, découvrir l’autre, découvrir ce qui nous entoure.
Expérimenter, introduire de la narration, chercher un angle original : en vulgarisation scientifique, viser le dialogue plutôt que le transfert de connaissances.
Avoir comme porte d’entrée l’émerveillement, le questionnement en observant un ciel étoilé, c’est une possibilité extraordinaire offerte pour communiquer les sciences.
Donner du pouvoir de réfléchir et d’agir aux publics, mettre en place des actions qui visent l’engagement, doivent être au cœur des pratiques de médiation scientifique.
Avec plus de 3 millions d’étudiants, près de 3 000 institutions d’enseignement supérieur et un nombre croissant de chercheurs et chercheuses, le Mexique, pays observateur de la francophonie, est un des pays chefs de file d’Amérique latine en matière de recherche. Retrouvez les témoignages de celles et ceux qui pratiquent la communication scientifique.
Ça y est ! Vous avez décidé de vous lancer. Il faut informer le public des plus récentes avancées scientifiques, déboulonner les mythes, sensibiliser les gens ! Mais à qui vous adressez-vous ? Y avez-vous pensé ? Pour toucher les gens et avoir un impact, il faut savoir rejoindre son public. Et pour cela, il faut bien le cibler !
Comment réconcilier le monde universitaire haïtien avec la société par l’entremise d’activités de vulgarisation ? C’est tout un travail de médiation sur le plan du discours qui doit être à l’œuvre dans les mécanismes de communication scientifique.
Modifier en profondeur les habitudes de vie bien ancrées n’est pas chose facile. On le constate d’ailleurs très bien dans le domaine de la lutte aux changements climatiques : changer est ardu et prend du temps. Voici quelques astuces pour mieux communiquer dans une visée de transformation sociale.
Comment créer un poster tous publics? Comment préparer et dynamiser ses conférences? Comment préparer une visite de labo? etc. Une série d’articles avec des conseils et des retours d’expériences par Destination Culture – Université Grenoble Alpes en France.
Quelles sont certaines spécificités de la société à prendre en compte pour mener des actions de communication scientifique au Maroc? Éléments d’analyse et conseils…
Comment partager des résultats scientifiques avec les communautés autochtones sur des territoires qu’ils habitent depuis des milliers d’années?
Twitter, Facebook, Instagram, Snapchat, YouTube… Sont-ils seulement des passe-temps très chronophages ? Peuvent-ils être des dispositifs de communication scientifique ?
Julien Bobroff, physicien, vulgarisateur et professeur des Universités en France, vous livre dix idées fausses que se font les scientifiques de…
Pour connecter avec votre audience et susciter son intérêt, il faut plus que des résultats et des faits bruts, aussi importants soient-ils. Il faut montrer qui vous êtes, ce que vous ressentez. Il faut y mettre de l’émotion.
Les relations entre les journalistes et les scientifiques ne sont pas toujours au beau fixe. Pourtant, cette interaction est indispensable pour une information scientifique de qualité. Voici quelques conseils pour que cela se passe au mieux.
Les gagnantes de la finale internationale du concours de vulgarisation scientifique « Ma thèse en 180 secondes » MT180 vous livrent leurs conseils.
RaccourSci, c’est une plateforme numérique pleine de conseils, d’astuces et de ressources pour communiquer la science sous toutes ses formes.
Se lancer dans la rédaction est une étape qui peut déstabiliser. Posez-vous les bonnes questions quant à ce mode de communication scientifique.