Recherche avancée

  • Comment leur faire aimer ça!

    Il y a des idées qu’on trouve fascinantes quand on maîtrise notre sujet, mais qui ne sont pas la meilleure porte d’entrée pour piquer la curiosité d’un public non-expert.

  • Café et mezzé

    Hors de leur contexte les études scientifiques sont souvent trop éloignées du grand public, mais il suffit du contexte social adéquat pour que la barrière entre science et société soit vite rompue.

  • Sous nos yeux se pavane le maître du système urinaire : le détrusor. Lors de la miction, soit l’action d’uriner, ce muscle de la vessie se contracte pour évacuer le liquide. L’étude de ces cellules musculaires lisses (en vert) et de leurs noyaux (en bleu) permet de repérer les protéines impliquées dans l’incontinence urinaire, associée à une vessie hyperactive. À terme, les recherches réalisées sur ce muscle, dont le fonctionnement est régulé par le système nerveux, pourront contribuer au traitement d’autres conditions neurologiques où la miction est affectée, comme la maladie de Parkinson et la sclérose en plaques. Sous nos yeux se pavane le maître du système urinaire : le détrusor. Lors de la miction, soit l’action d’uriner, ce muscle de la vessie se contracte pour évacuer le liquide. L’étude de ces cellules musculaires lisses (en vert) et de leurs noyaux (en bleu) permet de repérer les protéines impliquées dans l’incontinence urinaire, associée à une vessie hyperactive. À terme, les recherches réalisées sur ce muscle, dont le fonctionnement est régulé par le système nerveux, pourront contribuer au traitement d’autres conditions neurologiques où la miction est affectée, comme la maladie de Parkinson et la sclérose en plaques. (Grossissement : 200x | Colorisation par immunofluorescence de cellules de vessie de rat en culture | Colorisation au DAPI des noyaux) - Image issue du concours 2023 La preuve par l'image de l'Acfas.

    Comment (j’essaye de) faire rire?

    Mon expérience sur l’utilisation de l’humour en vulgarisation m’a amené à un constat : c’est un apprentissage perpétuel. Trouver le juste équilibre entre blagues et informations scientifiques est complexe, et il faut recommencer à chaque nouvelle vulgarisation scientifique.

  • Être vulnérable?

    Cette vulnérabilité est une brèche qu’on taille dans sa recherche, une brèche qui permet aux autres de s’engouffrer […] et rend possible le contact et le partage.

  • Utiliser des images : ce n’est plus une option!

    Plus que de simples souvenirs, les images sont des archives qui rendent visuellement compte de l’expérience vécue par les chercheur-ses. Elles facilitent la visualisation des faits et leur compréhension.

  • Apprendre à se mouiller, une vague à la fois

    Soyez curieux, partez vers des horizons qui vous interpellent et surtout, n’ayez pas peur de plonger! Parce que pour apprendre à surfer, il faut commencer par se mouiller.

  • La preuve par l’image

    À quoi votre image va-t-elle faire penser. Elle doit susciter la curiosité, l’intérêt des personnes qui vont la regarder. Leur faire travailler leur imaginaire. Alors, quelle émotion votre image va-t-elle créer?

  • La formule des 3R

    Il y a beaucoup de choses à savoir sur les communautés mais quand il s’agit d’interactions, ce qu’il faut mettre en haut de la liste ce sont les codes culturels de communication.

  • Le tour du chapeau

    Le chapeau est un élément essentiel d’un article, en communication scientifique comme en presse. Son rôle est de vous faire connaître les éléments clés de l’article, et vous donner envie de lire le texte dans son entièreté.

  • Ma préparation pour MT180

    Il a donc fallu trouver un fil conducteur/une histoire qui pouvait faire le lien entre chaque partie et choisir les discours les plus « parlants » pour chaque détail. J’ai dû, bien évidemment, retirer plusieurs éléments pour mieux synthétiser…

  • “Il était une fois…” Oui, mais…

    “Il était une fois…” Quoi de mieux pour débuter une histoire! Raconter une histoire, c’est l’un des premiers conseils donnés pour vulgariser ses travaux de recherches. Alors raconter une histoire, oui, mais pas n’importe comment.

  • L’insaisissable fil conducteur…

    C’est un bien drôle d’animal que le «fil conducteur», cet enchaînement des idées qui garde le lectorat dans un texte, votre communication scientifique, jusqu’au bout.

  • Sur la plage ensoleillée

    Vous êtes tranquillement installé-e sur votre serviette de plage, lorsque, à distance socialement respectable, la discussion s’engage pour parler sciences et métiers.

  • Comment augmenter l’engagement du public?

    La recherche suggère aujourd’hui de renouveler le modèle descendant, ou « syndrome du déficit de connaissances », pour un modèle de communication scientifique favorisant le dialogue et l’interaction.

  • Vulgariser en vidéo : le script

    Découpage, rythme, incrustation, valeur de plan, didascalies : comment tirer partie de cette grammaire visuelle pour faire passer des messages ou des émotions particulières?

  • En direct du labo

    Un compte collaboratif de médiation scientifique pour communiquer les sciences? Qu’est-ce c’est? Comment cela fonctionne? Qui participe?

  • Changer de médium?

    Bien entendu, nous ne sommes pas tou-te-s sur un pied d’égalité devant les formats de vulgarisation scientifique et nous avons des affinités avec certains.

  • Aller voir ailleurs

    Une pratique qui pourrait aider à améliorer des activités de communication scientifique en vue d’augmenter leurs impacts?

  • L’histoire vous le dira!

    Comment faire une vidéo de vulgarisation scientifique avec ses étudiant-e-s? Tranchez ça mince, faites-ça simple! Et glissez des résultats dès le début.

  • Du savant au vulgarisé : conseils de traversée

    Dès le début de la traversée, il faut penser aux passagers et mettre le cap vers la destination. Qui seront les lecteurs? Quel est le « lieu » de publication?

  • Fichu jargon?

    Si votre but, c’est de faire de la vulgarisation scientifique, vous allez devoir faire un choix au niveau de l’utilisation du jargon, du langage technique.

  • Je touche donc je suis

    La force de l’amorce!

    Quand on communique les sciences avec les publics, on se sert des cas particuliers pour introduire le général, pour capter l’attention.

  • Biodivertissons-nous!

    Faire des sciences en passant par la fête, les jeux, peuvent être un facilitateur dans la compréhension des informations et l’apprentissage de nouvelles compétences scientifiques.

  • Comment faire des sciences une fête?

    Partir à la découverte, explorer notre environnement, voyager avec son cerveau, repousser les frontières de l’inconnu et de l’impossible, se découvrir, découvrir l’autre, découvrir ce qui nous entoure.

  • Top 5

    La “bonne” vulgarisation scientifique

    Contenu scientifique correct, explication de la démarche, travail sourcé, être attentif à la manière dont son travail est compris : voici quelques conseils en vulgarisation des sciences.

  • Le syndrome du déficit de connaissances

    Expérimenter, introduire de la narration, chercher un angle original : en vulgarisation scientifique, viser le dialogue plutôt que le transfert de connaissances.

  • Flamboyante galaxie

    Ensemble, visons le ciel

    Avoir comme porte d’entrée l’émerveillement, le questionnement en observant un ciel étoilé, c’est une possibilité extraordinaire offerte pour communiquer les sciences.

  • Comment vulgariser sans falsifier?

    Les émissions de vulgarisation scientifique se multiplient. Chaque jour, les observateurs appellent à la vigilance face aux infox qui circulent. Comment simplifier sans trahir ?

  • Le piège de l’histoire à succès

    En vulgarisation des sciences, l’une des meilleures manières d’expliquer une notion, c’est sans doute de raconter une histoire. Mais attention à certains pièges, comme le biais du survivant!

  • Comment les sciences sont-elles communiquées au Mexique?

    Avec plus de 3 millions d’étudiants, près de 3 000 institutions d’enseignement supérieur et un nombre croissant de chercheurs et chercheuses, le Mexique, pays observateur de la francophonie, est un des pays chefs de file d’Amérique latine en matière de recherche. Retrouvez les témoignages de celles et ceux qui pratiquent la communication scientifique.

  • Les réseaux neuronaux de notre cerveau s’apparentent à des autoroutes (jaune-orange) ou à des routes secondaires (bleu). Ici, vus du dessus par neuro-imagerie, les deux hémisphères du cerveau d’un enfant de 9 ans. Leur asymétrie est frappante. Elle témoigne de lésions survenues lors du développement du fœtus, d’où une paralysie cérébrale. Et, visiblement, l’hémisphère gauche contient beaucoup moins de routes. Cela se traduit entre autres par des problèmes moteurs. Déchiffrer la carte routière neuronale chez les enfants atteints est crucial afin de mieux comprendre leurs symptômes et d’améliorer les interventions, qui, à ce jour, n’ont qu’une efficacité modérée.

    L’intérêt des questions idiotes

    Le public de non-spécialistes peut émettre des remarques, objections ou critiques digne d’intérêt. Le vulgarisateur scientifique doit savoir comment y répondre, même quand elles prennent la forme de questions idiotes.

  • Vous communiquez les sciences ? Bravo ! Mais à qui parlez-vous ?

    Ça y est ! Vous avez décidé de vous lancer. Il faut informer le public des plus récentes avancées scientifiques, déboulonner les mythes, sensibiliser les gens ! Mais à qui vous adressez-vous ? Y avez-vous pensé ? Pour toucher les gens et avoir un impact, il faut savoir rejoindre son public. Et pour cela, il faut bien le cibler !

  • Comment parler de désinformation avec vos amis virtuels ?

    Quelques astuces pour “engager le dialogue avec ceux qui ont partagé une information louche” sont partagées dans cette vidéo de la série Anatomie des fausses nouvelles, coproduite par l’Agence Science Presse et Savoir média.

  • Vol au-dessus d’un nid de tordeuse

    Environnement : comment communiquer pour inciter au changement

    Modifier en profondeur les habitudes de vie bien ancrées n’est pas chose facile. On le constate d’ailleurs très bien dans le domaine de la lutte aux changements climatiques : changer est ardu et prend du temps. Voici quelques astuces pour mieux communiquer dans une visée de transformation sociale.

  • Les ateliers de la culture scientifique

    Comment créer un poster tous publics? Comment préparer et dynamiser ses conférences? Comment préparer une visite de labo? etc. Une série d’articles avec des conseils et des retours d’expériences par Destination Culture – Université Grenoble Alpes en France.

  • Pupille dilatée

    Communication scientifique : faites place aux émotions !

    Pour connecter avec votre audience et susciter son intérêt, il faut plus que des résultats et des faits bruts, aussi importants soient-ils. Il faut montrer qui vous êtes, ce que vous ressentez. Il faut y mettre de l’émotion.

  • Nouvel envahisseur

    Journalistes-chercheurs : vers des relations apaisées

    Les relations entre les journalistes et les scientifiques ne sont pas toujours au beau fixe. Pourtant, cette interaction est indispensable pour une information scientifique de qualité. Voici quelques conseils pour que cela se passe au mieux.