Thomas C. Durand

alias Acermendax, docteur en biologie

Après quelques années dans la recherche et l’enseignement, il se tourne vers une activité de vulgarisateur de la démarche scientifique et de la pensée critique à travers une approche “zététique“, dont il est formateur.

Il est le directeur de l’Association pour la Science et la Transmission de l’Esprit Critique (ASTEC), et aussi l’auteur principal du blog La Menace Théoriste et de la chaîne Youtube La Tronche en Biais qu’il anime avec Vled Tapas et qui a reçu en 2016 le Prix Diderot de l’initiative culturelle.

Il a publié plusieurs ouvrages liés à l’esprit critique (La vie après la mort ? une approche rationnelle, éditions Book-e-book. L’ironie de l’évolution, Seuil. Quand est-ce qu’on biaise ? Humenscience. Connaissez-vous l’homéopathie ? Editions Matériologiques. L’Evolution, ça marche, Seuil).

  • Top 5

    La “bonne” vulgarisation scientifique

    Contenu scientifique correct, explication de la démarche, travail sourcé, être attentif à la manière dont son travail est compris : voici quelques conseils en vulgarisation des sciences.

  • Le piège de l’histoire à succès

    En vulgarisation des sciences, l’une des meilleures manières d’expliquer une notion, c’est sans doute de raconter une histoire. Mais attention à certains pièges, comme le biais du survivant!

  • Les réseaux neuronaux de notre cerveau s’apparentent à des autoroutes (jaune-orange) ou à des routes secondaires (bleu). Ici, vus du dessus par neuro-imagerie, les deux hémisphères du cerveau d’un enfant de 9 ans. Leur asymétrie est frappante. Elle témoigne de lésions survenues lors du développement du fœtus, d’où une paralysie cérébrale. Et, visiblement, l’hémisphère gauche contient beaucoup moins de routes. Cela se traduit entre autres par des problèmes moteurs. Déchiffrer la carte routière neuronale chez les enfants atteints est crucial afin de mieux comprendre leurs symptômes et d’améliorer les interventions, qui, à ce jour, n’ont qu’une efficacité modérée.

    L’intérêt des questions idiotes

    Le public de non-spécialistes peut émettre des remarques, objections ou critiques digne d’intérêt. Le vulgarisateur scientifique doit savoir comment y répondre, même quand elles prennent la forme de questions idiotes.