OUI, on peut informer sans déformer!
C’est un fait que s’adresser à un public non captif, demande aussi de trouver le moyen de capter son attention, d’éveiller sa curiosité afin de le motiver à lire ou écouter tel contenu.
Ingénieure diplômée de l’École nationale supérieure de chimie de Paris et de l’École Polytechnique de Montréal, Sophie Malavoy a cumulé plus de 30 ans d’expérience en vulgarisation scientifique.
De2005 à 2021, elle a dirigé le Coeur des sciences, un centre culturel scientifique mis sur pied par l’Université du Québec à Montréal. Elle fut auparavant réalisatrice à l’émission de télévision Découverte de Radio-Canada et rédactrice en chef/journaliste/réalisatrice des émissions Zone Science et Zone X à Télé-Québec. De 1984 à 1998, elle a occupé le poste de directrice et rédactrice en chef de la revue Interface/Découvrir de l’Acfas.
Elle donne régulièrement des formations en vulgarisation scientifique. Elle est l’auteure du Guide pratique de vulgarisation scientifique publié par l’Acfas.
C’est un fait que s’adresser à un public non captif, demande aussi de trouver le moyen de capter son attention, d’éveiller sa curiosité afin de le motiver à lire ou écouter tel contenu.
Quand on communique les sciences avec les publics, on se sert des cas particuliers pour introduire le général, pour capter l’attention.
Pour connecter avec votre audience et susciter son intérêt, il faut plus que des résultats et des faits bruts, aussi importants soient-ils. Il faut montrer qui vous êtes, ce que vous ressentez. Il faut y mettre de l’émotion.