Gaël Fortin

Vulgarisateur scientifique, docteur en cancérologie

Docteur en cancérologie et vulgarisateur scientifique, je partage les sciences pour les rendre accessible à tous et toutes.

Après 6 ans de recherche aux Etats-Unis et en France et une thèse en cancérologie, j’ai choisi de faire de la vulgarisation scientifique mon métier. Je partage la science sur les réseaux socionumériques avec ma chaîne Youtube Labologie et sur Instagram. Je réalise des contenus vidéo, courts et longs, à destination d’audiences variées.

Je suis membre du collectif de vulgarisateur·ices Les Explorers, de l’association Café des Sciences. Je suis le coordinateur de ComSciCon France 2024.

  • Sous nos yeux se pavane le maître du système urinaire : le détrusor. Lors de la miction, soit l’action d’uriner, ce muscle de la vessie se contracte pour évacuer le liquide. L’étude de ces cellules musculaires lisses (en vert) et de leurs noyaux (en bleu) permet de repérer les protéines impliquées dans l’incontinence urinaire, associée à une vessie hyperactive. À terme, les recherches réalisées sur ce muscle, dont le fonctionnement est régulé par le système nerveux, pourront contribuer au traitement d’autres conditions neurologiques où la miction est affectée, comme la maladie de Parkinson et la sclérose en plaques. Sous nos yeux se pavane le maître du système urinaire : le détrusor. Lors de la miction, soit l’action d’uriner, ce muscle de la vessie se contracte pour évacuer le liquide. L’étude de ces cellules musculaires lisses (en vert) et de leurs noyaux (en bleu) permet de repérer les protéines impliquées dans l’incontinence urinaire, associée à une vessie hyperactive. À terme, les recherches réalisées sur ce muscle, dont le fonctionnement est régulé par le système nerveux, pourront contribuer au traitement d’autres conditions neurologiques où la miction est affectée, comme la maladie de Parkinson et la sclérose en plaques. (Grossissement : 200x | Colorisation par immunofluorescence de cellules de vessie de rat en culture | Colorisation au DAPI des noyaux) - Image issue du concours 2023 La preuve par l'image de l'Acfas.

    Comment (j’essaye de) faire rire?

    Mon expérience sur l’utilisation de l’humour en vulgarisation m’a amené à un constat : c’est un apprentissage perpétuel. Trouver le juste équilibre entre blagues et informations scientifiques est complexe, et il faut recommencer à chaque nouvelle vulgarisation scientifique.